Sous le coude: Un outils qui a l'air sympa quand on fait beaucoup de ssh: terminal, explorateur de fichiers, analyseur d'espace disque, éditeur, viewer de logs, etc.
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Que vous soyez sous Linux, macOS ou Windows, il est possible en connectant votre smartphone Android à votre ordinateur via USB, d’en récupérer un affichage déporté avec lequel vous pourrez interagir (marche aussi via TCP/IP).
Pratique pour filmer un tuto sur Android, tester des outils, faire des captures écrans…etc.
Pour cela, il vous faudra l’outil scrcpy (screen copy) qui nécessite l’activation du mode debug sur le smartphone et une version d’Android supérieure à la 5.0 (API 21).
Connectez ensuite le téléphone Android en mode debug à votre ordinateur et lancez la commande :
scrcpy
Si vous voulez limiter la résolution de la capture, utilisez l’option -m comme ceci en préciser la résolution voulue (1024px ici). Le ratio sera bien évidemment conservé :
scrcpy -m 1024
Pour modifier le bitrate (qui est de 8 Mbps par défaut), utilisez le paramètre -b :
scrcpy -b 2M
Pour limiter le nombre max de fps (frames par seconde), utilisez le paramètre –max-fps :
scrcpy --max-fps 15
Pour « cropper » (découper) une partie de l’écran uniquement, utilisez la paramètre –crop. C’est pratique pour par exemple récupérer uniquement partie d’un affichage d’Oculus Go correspondant à l’oeil gauche. Vous pouvez coupler cette commande avec le paramètre –max-size vu ci-dessus pour redimensionner la capture :
scrcpy --crop 1224:1440:0:0
Pour enregistrer une vidéo de sortie au format mp4 ou mkv, faites comme ceci :
scrcpy -r file.mkv
Et si vous voulez désactiver l’affichage durant la capture (pour un script d’espion par exemple… héhé) utilisez le paramètre suivant :
scrcpy -Nr file.mkv
Ce n’est qu’un avant-goût de ce qu’il est possible de faire avec scrcpy, et pour le reste, je vous invite à consulter la documentation. Toutefois, sachez qu’il est aussi possible d’injecter du texte, d’établir une connexion sans fil (wifi) voire carrément du glisser-déposer d’APK.
La sonde Parker est en mission près du Soleil. Elle reçoit des particules qui composent le vent solaire. Il est possible d'entendre le son provoqué par ces impacts dans une nouvelle vidéo.
Si l’on pouvait écouter le vent solaire, quel son ferait-il ? Il ressemble un peu à la bande sonore d’un film d’horreur, si l’on en croit une nouvelle vidéo diffusée par Astronomy Picture of the Day (APOD, un site hébergé par la Nasa qui propose chaque jour une image nouvelle de l’univers) le 21 janvier 2020.
Le vent solaire est un flux de particules chargées émis en permanence par notre étoile. Il est constitué en majeure partie par des électrons, ainsi que par des neutrons et des noyaux d’hélium. Ce sont les impacts de ces particules sur la sonde solaire Parker de la Nasa que l’on entend dans la vidéo.
Méli-mélo d’ondes
Quels sont les différents types de sons que l’on entend dans cette vidéo ?
Les premiers sons correspondent à ce qu’on appelle l’onde de Langmuir. On parle aussi de fréquence plasma pour désigner cette fréquence particulière à laquelle les électrons se mettent à osciller lorsque le plasma subit une perturbation.
On entendu ensuite des ondes de sifflement (« Whistler Mode Waves »).
Le dernier son ressemble à un « chirp » (« Chirping Waves »), c’est-à-dire une sorte de gazouillis.
Les bruits sont accompagnés d’une vidéo dans laquelle on aperçoit ce que « voit » la sonde solaire Parker, y compris les planètes Terre, Jupiter, Mercure et Vénus. Les images permettent de voir des rayons cosmiques puissants qui surgissent. Le vent solaire apparaît différent près de Mercure, par comparaison avec la Terre. APOD précise que des travaux sont actuellement réalisés pour comprendre d’où viennent ces différences.
La sonde Parker, lancée le 12 août 2018, doit étudier en détail la couronne solaire (la partie extérieure de son atmosphère). L’appareil, qui a atteint un record de proximité avec le Soleil à la fin de l’année dernière, devrait continuer à envoyer des données issues de ses observations.
Depuis le 14 janvier, c'est officiel: Windows 7 ne recevra plus de mises à jour de sécurité. Ce qui veut dire que d'ici quelques mois, utiliser un Windows 7 deviendra carrément dangereux (risque de se faire pirater très facilement la machine, peut-être juste en ouvrant une page web ou un fichier). Il y a déjà des failles annoncées (mais pas encore publiées).
La meilleure option pour les utilisateurs de Windows 7 c'est Linux Mint 19.3 Mate. Je suis totalement sérieux. Car:
- L'environnement de bureau n'est pas dépaysant (c'est un terrain connu où les utilisateurs ne seront pas perdus)
- ça coûte rien.
- vous ne serez pas traqués.
- ça tournera bien même sur du matériel qui n'aurait pas supporté Windows 10.
- vous aurez les mises à jour de sécurité jusqu'en 2023
Après, je dis ça, vous faites ce que vous voulez hein :-)
PS: Pour le reste, je ne vais pas répéter pourquoi je ne veux pas de Windows:
Avez-vous remarqué comment votre adresse mail est devenue indispensable au fil des années ? Ce que je veux dire c’est que plus le temps a passé et plus votre email était demandé à gauche et à droite. Plus uniquement pour communiquer avec vous, mais aussi pour récupérer des freebies (des trucs gratos genre livre blanc, jeu gratuit…etc) ou pour s’inscrire à un site, pour accéder à du contenu, etc.
Juste un exemple qui me vient en tête : il y a encore quelques années lorsqu’on vous offrait un thème wordpress, un e-book ou un pack d’icônes gratuit … c’était le plus souvent fait sans contre partie. Tient voilà le lien, mentionne-moi si tu veux, mais sinon c’est cool. Je dois être le seul à faire ça encore.
Aujourd’hui, forcement, tout le monde connait l’intérêt d’avoir une bonne mailing-list ciblée. Au final votre email termine dans un paquet de listes … qui ne sont pas toujours saines, empêchent la désinscription ou qui finissent par être revendue. Ce qui génère un certain nombre de spams indésirables. Ou tout simplement vous avez des contacts relou que vous voudriez bloquer pour toujours.
Gmail est sans doute le fournisseur d’adresses mail le plus utilisé au monde et même si sa détection de spams est plutôt fiable il reste qu’elle n’est pas forcément personnalisée à vos besoins. Voici donc plusieurs méthodes pour récupérer la main sur votre boite mail.
1. Se désinscrire
Je sais que c’est un réflexe que beaucoup ont déjà, mais pas tous alors autant le rappeler. Combien de personnes vont pester contre un spam et le supprimer directement sans prendre la peine d’essayer de s’en désinscrire ? Le supprimer va plus vite, mais vous restez dans la boucle de l’envoyeur, donc même si vous ne savez pas d’où le mail sort ni comment vous vous retrouvez dedans … pensez à vous en désinscrire si possible.
Pour cela il suffit de descendre jusqu’en bas de mail et voir si le lien existe. Simple et rapide, et vous serez au moins tenu hors de la liste pendant un certain temps voire définitivement. Sauf que le lien n’est pas accessible dans tous les mails, notamment s’il s’agit de mail personnel (ils sont généralement présent dans les newsletters, mails de sociétés, etc., mais pas lorsque votre contact est un particulier).
2. Bloquer un contact spécifique
Comme pour la méthode précédente il faudra d’abord vous connecter sur votre compte Gmail et ouvrir le mail de la personne/entité que vous voulez bloquer (oui j’aime bien utiliser le mot « entité », j’ai l’impression que je parle d’aliens).
Ensuite vous allez cliquer sur l’icône des 3 points verticaux puis sur « Bloquer l’utilisateur » (comme sur la capture ci-dessous). Et ne me demandez pas comment mon email s’est retrouvé sur une mailing d’astuce de grand-mère, je n’en sais rien. Ne jugez pas, ce n’était pas de mon plein gré.
Voilà c’est tout ! C’est une des manières les plus simples, 2 clics et le tour est joué. Même si vous débutez avec Gmail c’est super simple à mettre en place, le problème c’est que faire ça pour chaque entité (je vous avais prévenu que j’aimais bien ce mot) c’est un peu barbant à la longue, d’où la méthode 3.
3. Bloquer des emails via un filtre
Toujours en vous connectant sur votre compte vous verrez une petite flèche à côté de votre champ de recherche (tout en haut de l’écran). Elle va ouvrir un panneau dans lequel vous pouvez choisir ce que vous voulez bloquer automatiquement : une adresse mail spécifique, certains mots, une taille de message trop importante, une plage de réception, si le mail contient une pièce jointe … à vous de faire votre sauce. Cliquez ensuite sur « Créer un filtre« .
Il ne reste qu’à sélectionner la ligne « Supprimer » et vous êtes tranquille !
À noter que la procédure fonctionne aussi pour faire autre chose que de la suppression puisque vous pouvez marquer les mails comme lus, leur accorder plus d’importance, les envoyer dans un dossier spécifique, transférer le mail vers une autre adresse, etc.
Cette dernière option par filtre sera notamment efficace en mode prévention, pour éviter à l’avance de recevoir des mails promotionnels, marketing ou vantant des offres particulières. Ou pour rediriger un mail directement vers son envoyeur s’il est vraiment compliqué de s’en défaire.
Au final tout est assez simple à mettre en place. Que vous débutiez avec une nouvelle adresse ou que vous essayiez de reprendre le contrôle d’une adresse active depuis des années et spammée au quotidien … il suffira de quelques minutes pour améliorer la situation. Ensuite la maintenance se fera au fur et à mesure, restera à avoir la discipline de prendre quelques secondes chaque fois que vous êtes emmerdé.
Allez faites-moi ce petit nettoyage d’hiver histoire de démarrer 2020 sur de bonnes bases, votre messagerie vous en sera reconnaissante 😉 Pensez aussi à programmer vos voeux de nouvel an. J’ai réussi à limiter ma boite mail à 12 000 messages non lus, si ce n’est pas une preuve que ça marche je ne sais pas ce que c’est ! ^^
Gros disclaimer : Je ne suis pas fan du fait de désactiver les mises à jour de Windows. Je ne vous recommande pas de faire ça et si je parle de cet utilitaire aujourd’hui c’est parce que ça peut servir dans certains cas. En tout cas, si vous bloquez les mises à jour sur votre OS, vérifiez bien que cela reste temporaire et pensez bien à les réactiver ensuite.
Windows Update Blocker est donc un utilitaire pour Windows qui permet de désactiver et réactiver les mises à jour de Windows, ce qui dans certains cas est bien pratique.
En effet, Windows 10 ne permet pas cela nativement, ce qui est quand même dommage quand on veut maitriser totalement sa machine, choisir le moment où on veut mettre à jour et ne pas se retrouver avec un patch qui viendrait mettre en l’air une config un peu particulière.
Évidemment, on peut le faire manuellement en désactivant le service associé, mais c’est plus sympa en 1 clic avec Windows Update Blocker.
Mieux Windows Update Blocker permet aussi de rajouter dans une liste n’importe quel autre service Windows que vous aimeriez bloquer.
Curieusement depuis l’interface utilisateur de la messagerie Gmail, il n’est pas possible de créer des groupes de destinataires pour pouvoir envoyer le même mail à plusieurs personnes. Cela oblige à ajouter un à un tous les destinataires auxquels on souhaite expédier ledit message.
Cependant, en passant par l’application Google Contacts, il va être possible de contourner cette limitation.
Évidemment, il n’est pas question d’utiliser Gmail pour faire des mailings de masse, et de toute façon si vous vous risquez à cet exercice, Google aurait tôt fait d’invoquer les limites qu’il a imposées dans l’utilisation de sa messagerie pour suspendre ou désactiver votre compte Gmail.
Voici la procédure pour créer des groupes de dentinaires à exploiter dans Gmail
Depuis l’application Contacts de Google, sélectionnez une ou plusieurs personnes parmi vos contacts en cochant les noms.
Dans la barre d’outils en haut de l’écran, cliquez sur l’icône Gérer les libellés. Sous le terme libellé qui est employé partout dans les applications Google, il faut comprendre groupes.
Dans le menu qui s’affiche, choisissez + Créer un libellé, donnez-lui un nom, puis pour finir, cliquez sur le bouton Enregistrer. À noter qu’il est aussi possible de créer un libellé ou de copier un contact dans un libellé en effectuant une recherche selon des critères communs (entreprise, pays de résidence…) à des contacts. Il est aussi possible en sélectionnant un contact de l’ajouter à un libellé existant.
Le libellé est alors affiché à gauche de la fenêtre dans la section Libellés. C’est à ce niveau de l’interface utilisateur, qu’il est possible d’éditer un libellé, d’ajouter ou de supprimer des destinataires, de le supprimer, etc.
Maintenant, pour utiliser le groupe de destinataires dans la messagerie Gmail pour leur envoyer le même message, après avoir cliqué sur Nouveau message, il suffit de taper les premières du libellé pour le voir s’afficher dans le champ À. La liste des destinataires du mail est affichée. Vous avez toujours le possibilité d’y ajouter des personnes ou d’en retirer avant d’envoyer le mail.
Il faut savoir que si un contact dispose de plusieurs adresses mail dans Google Contacts qui sont indiquées sur sa fiche, c’est l’adresse mail principale qui va être utilisée.
La procédure n’est pas très compliquée, mais à l’instar de la messagerie Outlook, il serait quand même plus facile de pouvoir effectuer la manipulation depuis Gmail afin de pouvoir envoyer des lettres d’informations et des petits mailings ciblés à un groupe de personnes.
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Que vous soyez photographe averti ou simple amateur, il est toujours bien utile d’avoir un petit logiciel qui va vous aider à tirer le meilleur de vos images. C’est ce que vous permet gratuitement l’éditeur d’images Picture Window Pro 8.
L’un des points forts du logiciel est que vous allez pouvoir créer des branches d’éditions de vos photos. C’est-à-dire qu’à partir d’une même image de départ vous pourrez éditer différents aspects en parallèle pour voir ce qui vous convient le mieux.
Et si vous utilisez une suite de modifications régulièrement vous pourrez la sauvegarder sous forme de script à réutiliser par la suite. PWP8 vous permet ainsi d’automatiser des opérations répétitives (sauf le café, dommage).
Comme pour les outils type Photopshop ou Gimp, il dispose de fonctionnalités qui vous aideront à masquer des éléments, remplacer des couleurs, préciser vos images floues (ou au contraire, floutez certaines zones), comparer des images entre elles, jouer avec différents calques, corriger des perspectives ou l’horizontalité d’une photo et même de retirer les distorsions dues aux lentilles de contact des appareils.
Et comme Picture Window Pro 8 est plutôt puissant, vous pouvez retirer des objets de vos photos, créer des kaléidoscopes et des canevas d’impression ou encore retirer l’arrière-plan pour ne garder qu’un PNG au fond transparent de l’élément central (un peu comme Trace le fait). Il supporte le multi-écran, les moniteurs HD et les processeurs multi-coeurs pour une édition rapide.
Pour ceux qui veulent aller encore plus loin, il est possible de créer des profils de caméra et de scanner personnalisés, de modifier les courbes pour une correspondance plus précise du moniteur à l’imprimante, de gérer les profils colorimétriques, etc.
Disons que si vous êtes doué en photo vous allez pouvoir encore vous approcher de l’excellence et que si vous êtes nul… ça va aider à le cacher un peu mieux qu’un filtre Instagram 😉